Pourquoi ?

Alors pourquoi ?
Mais est-ce que je vous pose des questions, moi ?
Peut-être des réponses, mais alors pas plus. Bon allez, comme vous avez pris la peine de me déranger, je vais tout (1) vous dire, mais n’y revenez plus !

Alors pourquoi, oui pourquoi ?

Déjà “parce que”, c’est un bon début, mais comme je sens que cela ne vous suffira pas.
Je vous explique.
Par une belle aurore boréale (2) du mois de mai, juste au niveau du dessus de l’équateur, l’envie de  cauchemarder autrement qu’au travers de l’image, de la photographie(3) m’est apparue (3 bis). Et quand une belle apparition se présente, je ne peux pas résister.
N’est-ce pas une excellente raison, toute convaincante. En tout cas, elle m’a convaincu. J’espère que pour vous c’est pareil. Et puis de toute façon, personne ne vous a demandé votre avis. Alors, vous n’avez plus le choix, vous devez subir ou périr.
Continuons !

On dit pourquoi, on passe à l’acte, quelle honte  !

J’avais envie de parler pour ne rien dire. J’ai essayé en siffllant. Cela n’a pas marché. Alors faute de pire, je suis revenu aux mots.
Quelle déception, ma plume n’est pas parfaite. J’avais oublié de la tremper dans l’encrier et de la tourner 7 fois autour de ma langue. Voilà ce qu’il arrive quand on n’a pas de mémoire.
Maintenant, c’est quand même une bonne chose car sans encre, les mots ne laissent pas de traces et se contentent de voler de branche en branche, de signes de ponctuation en signes de ponctuation., et rien C’est sans doute bien pour faire de petits tas de branches et chauffer son antre séculaire, mais pour communiquer, on fait mieux.

Alors, faute de pire, je suis passé à la version 2.0, c’est plus branché (4), plus vases communicants et l’on a moins de chance de s’embourber.
Constat : dans l’opération j’y ai vraiment beaucoup perdu.
Mes côtés (5) irréprochables et 100 % littéraire s’étaient envolés. J’ai voulu porter plainte au commissariat du coin. On m’a jeté. J’ai essayé à la maison de la culture, dans l’autre coin, pareil. Comme je n’avais plus de coins à portée, je me suis résolu. Je n’avais ni fortune ni bon cœur sous la main pour me passer les nerfs.
De là, j’ai failli me mettre en marche. Mais ouf, les augures m’ont fait un signe et j’ai compris que cela me ferais pas avancer. J’ai tourné une fois sur la droite, le penne n’a pas voulu céder. J’ai essayé une autre fois sur la gauche et là miracle un encrier virtuel et son clavier me sont apparus. J’ai craqué.

Bénits soient UTF8 et Saint “Réseaux Sociaux”.

Commenter, commenter, il en reste toujours des fakenews. C’est ce qui passe sur la plupart des réseaux sociaux. Facebook, Twitter, sont en tête. Ce sont eux qui m’ont donné envie.

Plus sérieusement, voilà quelques sujets qui m’attirent :

  • L’actualité,
  • Les changements qui interviennent dans la société,
  • Les anecdotes de la vie qui foisonnent de bonnes raisons pour en dire plus, pour donner une vision plus personnelle des choses,
  • Exprimer des critiques de façon constructive (du moins je l’espère),
  • Ne pas simplement subir ce qui se passe mais aussi en donner sa perception. Et qui sait, faire naître le dialogue,

Par contre, pas de sujets plus professionnels (marketing, e-marketing, informatique, vente, …) j’ai d’autres lieux pour cela. Cela ne signifie pas que l’entreprise est un sujet tabou, bien au contraire, mais pas sous l’angle des techniques ou commercial des choses.

Une promesse.

Brèves de zinc parle et parlera de tout, de rien et surtout de rien Pour semer encore plus le trouble et vous perdre en chemin, pas de mots, juste des onomatopées, des soupirs gutturaux, des sons silencieux qui vous éclatent les oreilles.
D’ailleurs, si vous faites silence, vous verrez, cela a déjà commencé.

Je vous assume, un peu, beaucoup, à la folie, pas du tout.

Créer un blogue, c’est se confier, échanger avec le visiteur (et j’espère qu’il y en aura), parler en toute confiance à des personnes que vous ne connaissez pas, qui ne vous connaissent pas encore, c’est prendre des risques.
Le risque de la critique en fait partie, il s’assume, il fait partie du jeu, ou alors autant aller planter ses choux ailleurs.
Les seuls risques que “Brèves de Zinc” ne veut pas prendre ce sont ceux des trolls, des comportements haineux, de tout ce qui fait que des échanges normaux se transforment progressivement en lieu d’insultes permanentes.
Ce qui signifie que le risque des injures ne sera jamais pris.

Une conclusion.

J’espère que “Brèves de Zinc” saura vous séduire ou vous désolé,  que vous le ferez connaître auprès de vos poches et de vos proches, surtout s’ils ne sont pas dedans. L’avenir vous en sera reconnaissant et vous maudira jusqu’à la prochaine émission de télé.
Gros poutou (8) à toutes et aux autres !

Ah oui ! Pourquoi ce texte et pas un autre ?

Si vous venez juste d’arriver  sur cette page pour la première fois, soyez heureux. Sachez le. Vous avez échappé à un premier texte pompeux et grandiloquent, un vrai étouffe crétins. Un peu plus tôt dans l’histoire et vous n’en seriez pas sortis vivants. Personne ne l’aurait su, mais vous, au moins, vous auriez su et vous pourriez pu témoigner lors votre jugement pour délit de fuite d’eau et consommation excessive de breuvages alcoolisés. Sauvez par je ne sais trop quoi.

Conclusion bis (le retour).

Bonne journée, bonne digestion (du texte) et à bientôt (7).

 

(1) Vous abusez tout de même.
(2) Que l'on a tout de même à voir sous nos latitudes. Je vous laisse donc imaginer l'important qu'a ce jour extraordinaire. N'oubliez pas de le marque dans vos agendas et de mettre les agendas aux coffres pour les générations futures.
(3) Je fais de la photographie depuis quelques années et devrais mettre sous peu quelques photographies en ligne sur un site personnel.
(3 bis) Si ce blogue ne marche pas, peut-être je penserai à travailler l'idée d'un Lourde des aurores boréals et des petit matins gris.
(4) C'est sans doute bien pour les petits tas de bois dont je parlais dans la phrase d'avant.
(5) caché, même à moi.
(6)Comme quoi, les derniers seraient bien les premiers, s'il n'y avait des ralentisseurs, des dos d'âne et des bosses de chameaux.
(7) Vous avez le droit de vous plaindre sur cette page. Je ne vous dénoncerai pas.
(8) Avantage, au moins lui il a un double sens, rien de giratoire ou d’interdit.

Mis en ligne 01/08/2016
Modifié le 13/11/2017

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